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19 décembre 2009 6 19 /12 /décembre /2009 20:26
Le géant Google a été condamné. Le géant Google qui, en toute impunité, et même avec insolence numérisait à tours de bras "nos" livres, "vos" livres, ceux que j'ai écrits, ceux que vous avez lus, les auteurs vivants, morts, célèbres ou inconnus, les uns comme les autres ne pouvant se défendre.
Google vient d'être condamné pour contrefaçon après avoir numérisé des livres sans autorisation.
Oui, c'est un soulagement. Même aux Etats-Unis, pays de la procédure s'il en est, les auteurs et éditeurs avaient finalement renoncé à attaquer Google.
Cela fait plaisir à l'heure où le dégoût domine,
à l'heure où, à Copenhague, quelques êtres humains ont décidé sciemment de ne pas s'entendre pour sauver quelques milliards de leurs semblables,
à l'heure où, à Auschwitz, quelques criminels ont décidé sciemment de bafouer la mémoire de millions de morts.

Carambolage terrible de l'actualité.

La décision contre Google donne de l'espoir pour écrire.
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9 décembre 2009 3 09 /12 /décembre /2009 11:11
A lire d'urgence:

http://bugbrother.blog.lemonde.fr/2009/12/09/le-fichier-des-enfants-preoccupe-lonu/#xtor=RSS-32280322
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1 décembre 2009 2 01 /12 /décembre /2009 23:16
Roman annoncé comme policier. Un policier à la française. Après avoir lu Michael Connelly, le style comme l'histoire paraît plus léger. Le livre se lit facilement, avec plaisir. L'auteur alterne les scènes au début du XXe siècle avec celles d'aujourd'hui. Elle a trouvé, pour éviter l'écueil de la comparaison, le procédé d'introduire les scènes du XXe siècle à travers un cahier d'outre-tombe que lit l'héroïne d'aujourd'hui.
Cependant, le portrait de Freud que l'on nous promettait passionnant paraît terne. Il est en second plan, presque inexistant, suiveur et passif. On aurait rêvé découvrir comment les leçons de Charcot l'ont influencé pour élaborer le concept de la psychanalyse.
Sur l'hystérie, on n'apprend pas grand-chose non plus. On aurait pu imaginer une sorte de comparaison entre la vision de Charcot, à l'ancienne, et l'éclairage actuel à la lumière de la psychiatrie du XXIe siècle.
Le portrait de Rachel, jeune interne féministe, est particulièrement réussi.
Le dénouement est un peu obscur, avec un personnage-alibi, qui ne semblait servir à rien au début de l'histoire est qui se révèle être le pivot de l'histoire. Quant à la fin, elle m'a laissé sur ma faim, avec des mystères à répétition qui laissent un peu indifférent.
J'ai rétrouvé un écueil que l'on m'a reproché et que je ne comprenais pas: la description d'un personnage féminin proche du cliché de la femme fragile, délicate, sensible. Effectivement, on n'a pas envie de voir un personnage féminin sans épaisseur. Celui de Rachel est beaucoup plus intéressant, fort en caractère.
J'y ai appris cela.



PS : Pff... dur d'écrire à côté d'une copine qui hurle au téléphone...
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30 novembre 2009 1 30 /11 /novembre /2009 18:56
Il y a des jours comme ça que l'on voudrait sauter directement pour passer au lendemain. Pourtant, on est obligé de les subir, de les traverser comme des flots en furie.
Deux nouveaux refus de mon manuscrit.
Et un tas d'autres choses qui m'ont bien plombée.

Par chance, demain est un autre jour. Et demain, le soleil se lèvera aussi.
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27 novembre 2009 5 27 /11 /novembre /2009 07:01
Ce soir, ensemble
Nous nous retrouverons là où il aimait
Où même les feuilles tremblent
A nous entendre rire et plaisanter
Autour d'un verre, d'une Marguerite
En terrasse avec un peu de chance
Se remémorant les choses dites
Ce soir, cela fera presqu'un an qu'à lui je pense
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26 novembre 2009 4 26 /11 /novembre /2009 22:54

Où la publicité se pose en nouveau censeur:


Observatoire de la liberté de création

 

 

 

 

 

Communiqué

Paris, le 25 novembre 2009

Métrobus récidive

Il y a quelques mois, Métrobus, régie publicitaire de la RATP, interdisait sur ses supports l'affiche du film Coco avant Chanel, qui représentait l'interprète du rôle titre une cigarette à la main, et faisait remplacer sur l'affiche de l'exposition Tati la pipe de M. Hulot par... un moulin à vent. Métrobus appliquait ainsi sa propre interprétation, très restrictive, de la loi prohibant la publicité pour le tabac et l'alcool, interprétation valable uniquement dans les couloirs du métro parisien, puisque l'affiche de Coco était visible sur tous les murs de Paris. Les déclarations de Claude Evin, auteur de la loi, n'avaient pas suffi à convaincre Métrobus, et il avait fallu l'indignation de milliers de signataires pour obliger la régie à rendre à M. Hulot sa pipe légendaire.
 
Aujourd'hui, Métrobus refuse l'affiche du film de
Joann Sfar Gainsbourg, un dessin en noir et blanc représentant le profil du chanteur entouré de volutes de fumée. L'équipe du film, soucieuse de ne pas irriter les narines chatouilleuses de la RATP, avait pris soin de ne pas montrer l’objet du délit, la cigarette. Mal lui en a pris ; si l'affiche avait été extraite du film, si elle avait montré le comédien interprétant Gainsbourg une cigarette bien réelle à la main, Métrobus n'y aurait pas vu malice et l'aurait acceptée dans ses murs, prétend-elle aujourd’hui. De qui se moque-t-elle ?
 
L’Observatoire de la liberté de création encourage vivement Métrobus à laisser dans les loges son habit de Tartuffe, et assure les ayant-droits du film et de Serge Gainsbourg de son soutien. Ne laissons pas une régie publicitaire faire la loi !

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19 novembre 2009 4 19 /11 /novembre /2009 17:18
Eh voilà ! Je viens de recevoir mon premier refus de mon dernier manuscrit. Je dis le premier car ce ne sera sûrement pas le dernier, c'est une évidence.
Là, ce fut fait avec des pincettes, et même avec des égards. Un message sur mon répondeur pour me demander de rappeler tout en me disant clairement que le manuscrit n'était pas pris. C'était hier. Je n'ai le message qu'aujourd'hui, pour cause de grippe qui m'a clouée au lit, loin de mon téléphone.
Je rappelle aujourd'hui. L'éditeur me dit qu'il a beaucoup aimé mon texte, bien écrit, le personnage principal, sombre, la façon dont je mène le suspense de l'agonie d'un autre personnage. Mais, car il y a un mais... si lui est enthousiaste, le reste du "comité de lecture" (deux ou trois autres lecteurs) l'est moins, a aimé, tièdement. On a reproché au texte d'être mélo (moi, j'aime bien le mélo), et d'avoir des longueurs (et moi qui trouvais que c'était court et concis). De toute façon, c'est un avis parmi d'autres. Le texte est bon, je le sais, je le sens. Donc, bien qu'il n'y ait pas eu d'avis négatif, il ne peut me publier. Ils viennent de signer nombre de contrats et ne souhaitent en signer d'autres pour 2010. Il a la cruauté d'ajouter que si cela avait été durant une autre période, ils l'auraient pris. Il insiste: c'était à un cheveu.
Mollement, je tente de proposer une réécriture, un travail éditorial. Avec un contrat, oui, me répond-il. Dommage.
Il ajoute plusieurs fois: la porte vous est grande ouverte pour nous proposer d'autres manuscrits.
La dernière phrase est restée dans ma gorge : "Mais c'est celui que je veux, que j'ai besoin de voir publier, pour tourner la page; vous ne pouvez pas comprendre."
Il y a dix ans, j'aurais franchi la Grande Muraille et je l'aurais convaincu.
Là, je suis à peine déçue, un peu en colère. Je suis tellement prise par d'autres tourments...
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17 novembre 2009 2 17 /11 /novembre /2009 17:42
Vu, enfin ! Au moment de sa sortie au cinéma, j'avais été échaudée par les mauvaises critiques. Et là, je n'avais rien de mieux à faire (bon, ce n'est pas vrai, évidemment). Le trio James Ellroy, Brian DePalma, Scarlett Johansson m'a séduite. Le roman, malgré ses nombreuses longueurs, m'avait accrochée. J'avais sauté des passages. Je trouvais que l'enquête se délayait un peu dans les intrigues secondaires notamment avec le coéquipier du héros. Mais, vingt ans après sa lecture, ce livre me reste. Des impressions fortes.
Le film a le bénéfice d'avoir réduit l'intrigue à l'essentiel. Scarlett Johansson irradie, même si le personnage ne la sert pas. Mais cette fille fait l'effet d'une truffe en chocolat, alors j'y vais quand même.
Les autres personnages suivent.
J'ai beaucoup aimé la trop rare Mia Kirschner, découverte par Atom Egoyan, qui joue le Dahlia.
En revanche, j'ai été beaucoup trop gênée par l'absence de crédibilité qui sous-tend l'intrigue: la ressemblance entre le Dahlia et la jeune fille de bonne famille, jouée par Hilary Swank. Dans le film, on nous répète à l'envi que l'un est le sosie de l'autre. Or, l'adorable minois de Mia avec sa charmante fossette sur le menton, ses yeux bleus, me semblent à des lieues du regard sombre d'Hilary, de son visage sensuel, presque vénéneux. Deux femmes qui sont à l'opposé l'une de l'autre, même par la coiffure ou la couleur des cheveux (noire pour Mia, châtain pour Hilary).
Je n'ai pas marché.
Dommage.
Brian DePalma a eu des fulgurances dans sa carrière (BLOW OUT par exemple, ou même SNAKE EYES), quelques réalisations de bonne facture (LES INCORRUPTIBLES ou MISSION IMPOSSIBLE), mais n'est pas toujours à son meilleur niveau. Avec lui, on n'est jamais déçu: le film ne sera pas franchement mauvais.
Donc, je l'ai dégusté avec nonchalance et curiosité. Pas si mal finalement.
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15 novembre 2009 7 15 /11 /novembre /2009 19:50
A Toulouse, ce week-end, on avait le choix entre le Salon du Livre et celui du Chocolat. La bonne idée aurait été de coupler les deux, comme à Balma avec le Salon du livre et du vin.
Là, il a fallu choisir. Un jour chacun. Aujourd'hui, chocolats avec dégustation minimaliste. Dommage. Une exposition de robes en chocolat; et pourquoi pas des dessous en chocolat? Au moins cela pourrait se partager... Il existe déjà des strings en bonbons mais bon, c'est moins tentant, à mon goût.

Hier, livres, auteurs, éditeurs. Après plusieurs années d'errements, le salon du livre de Toulouse semble avoir trouvé sa formule, son rythme, son public. Le succès est dû notamment à la présence assidue d'auteurs que l'on a tant de plaisir à voir et revoir, lire et relire : Pascal Dessaint, Fabienne Ferrière, Hélène Duffau, Benoît Séverac, Jean-Louis Marteil.
L'occasion de faire le plein de cadeaux ou l'art de faire plaisir aux uns (auteurs et éditeurs) et aux autres (ses proches).
J'ai appris que la région Midi-Pyrénées regorgeait de libraires et d'éditeurs. Je n'aurais pas cru. On ne se sent pas particulièrement bien accueilli en tant qu'auteur ici. Mais ce n'est peut-être que moi...
Le point sur le lectorat en France (extrait de La Dépêche du Midi):
Toulouse, pays du livre

Toulouse. Midi-Pyrénées toujours en tête, en France, pour le nombre de librairies et d'éditeurs. La lecture est ici chez elle et tient salon ce week-end.

Les Requins Marteaux.
Les Requins Marteaux.

Une pléiade d'auteurs, mais aussi une centaine d'éditeurs et de libraires, c'est, au-delà de la littérature elle-même, toute la chaîne du livre qui se déploie au salon « Vivons livres », qui se tient aujourd'hui et demain à Toulouse. Un événement culturel majeur qui inscrit donc son projet sur une double page : celle de l'écriture, bien sûr, mais celle aussi de la confection et de la diffusion du livre. Il va s'agir, d'abord, de montrer la variété et la qualité de la production littéraire de cette région. À cet effet, des centaines d'auteurs sont là, pour présenter leurs œuvres, mais aussi s'ouvrir à d'autres horizons, puisque le salon accueille à leurs côtés des littérateurs venus d'Espagne, de Grande-Bretagne, d'Allemagne, de Suisse, des États-Unis.

Dans le même temps, le salon promet aussi de mettre en lumière l'extraordinaire richesse de l'édition régionale. Cette indispensable « industrie » qui permet aux auteurs de passer la barrière du « journal intime », et de propulser leurs œuvres vers le public, compte pas moins de 100 « Maisons » en Midi-Pyrénées (nous avons choisi d'en présenter trois exemples très différents ci dessous). Un véritable record national dont l'importance n'a pas échappé à Martin Malvy, président de la Région, organisateur du salon qui observe : « au-delà de son intérêt culturel, le livre représente aussi un secteur économique de 9 000 emplois en Midi-Pyrénées ».

cette réalité économique et sociale va de pair avec un autre constat, strictement culturel celui-là : c'est le pays tolosan qui, en France, compte le plus grand nombre de librairies par cerveau d'habitant.

Une statistique qui confirme la flatteuse appréciation de Bescherelle qui notait dans son célèbre dictionnaire à propos des Pays de Garonne : « région où les choses de l'esprit ont plus d'importance qu'ailleurs». Ce jugement était avancé au XIXe siècle. La foule des visiteurs attendus ce week-end au centre des Congrès en sera le prolongement.


Aujourd'hui, sur le forum des éditeurs

Aujourd'hui à 14 heures, Le Grand Os fait sa revue avec les poètes Aurelio Diaz Ronda et Sébastien Lespinasse, le comédien Jean-Marie Champagne, et la compagnie de danse-théâtre Pasina & cie. Puis lectures et performances poétiques autour des auteurs publiés par Le Grand Os et la revue LGO.

De 15 heures à 16 h 30, les éditions Privat présentent Jaurès, éclaireur de notre temps avec les historiens Rémy Pech, Rémy Cazals et Jean-Michel Ducomte.

À l'occasion de son 170e anniversaire, Privat propose une réflexion sur la pensée de Jaurès : « Quelles seraient aujourd'hui les opinions et orientations sociales et politiques du visionnaire qu'il était ? », avec Philippe Terrancle, directeur des Éditions Privat.

De 16 h 30 à 17 h 30, Les Nouvelles Éditions Loubatières organisent une rencontre animée par Pierre Lasry sur « L'Europe et la Profondeur ». Avec Pierre le Coz, autour de son livre sur ce thème.

De 17 h 30 à 18 h 30, place au cinéma de Gindou en compagnie de Tertium Editions. Avec Philippe Étienne, réalisateur et organisateur des Rencontres Cinéma

de Gindou, et Nelly Blaya, photographe, Guy Cavagnac et Guy Fillion.

Débat animé par l'éditrice Mireille Veyssière, autour de l'ouvrage sur « Les Rencontres » qui retrace, à travers photos et témoignages, les nombreuses étapes de l'aventure humaine et cinématographique que sont ces événements.

De 18 h 30 à 19 h 30, les éditions N & B proposent « Le croissant chaud de Danielle Catala ». Avec Danielle Catala, comédienne et cofondatrice de la Cave poésie, qui mettra en voix des poèmes tirés d'ouvrages parus récemment aux Éditions N & B : La part vive d'Antoine Boisseau, Effets d'annonces suivi

du Carré chinois de Robert Nédélec et Herbier des jours de Progreso Marin.


Le Rouergue: plus de 500 titres au catalogue

Vingt-trois ans déjà : Le Rouergue Édition est entré dans la maturité. Avec de très beaux succès comme Les Déferlantes, de Claudie Gallay, l'an dernier (350 000 exemplaires et une prochaine adaptation au cinéma). Mais surtout un travail de fond dans l'édition d'ouvrages liés au terroir (Aveyron notamment). Et des diversifications heureuses comme la collection jeunesse. Pour la maison d'édition de Danielle Dastugue, à Rodez, la nature, la gastronomie, le patrimoine et un certain rapport au territoire sont toujours en ligne de mire. De ces années de travail souvent discret, il ressort deux choses importantes dans le monde feutré de l'édition : une réputation de sérieux et de fiabilité. Et un catalogue, riche de plus de cinq cents titres.


Les Requins Marteaux s'agitent à Albi

Contre vents et marées, les Requins Marteaux se maintiennent hors de l'eau dans le monde agité de l'édition. Iconoclastes et irrévérencieux, les Requins trimballent depuis 18 ans leur carcasse «d'indépendantistes» et d'activistes joyeux. De leur antre, situé à Albi, à deux pas de la fac, ils naviguent aux quatre coins de la France. L'association, créée en 1991 par trois compères, Marc Pichelin, Bernard Katou et Guillaume Gerse, a fédéré une bande d'auteurs de bandes dessinées et de musiciens. Les musicos ont disparu et les Requins se sont tournés vers l'auto-publication de leurs travaux, devenant un des premiers labels indépendants du début des années 90. Beaucoup d'encre a coulé sur les planches de BD depuis le premier bouquin édité par l'association, «José emmerde le monde», réalisé par Guerse et Pichelin à partir d'une petite machine offset. «Au début, expliquait Marc Pichelin, nous ne savions rien faire! Notre collectif a toujours fonctionné selon une géométrie variable. Nos projets partent dans tous les sens et c'est justement ce qui nous plaît. Parfois, on se trompe, parfois on a de bonnes surprises.» Comme le «Pinocchio» de Winshluss, un Requin Marteau qui s'est vu décerner le Fauve d'or 2009, prix du meilleur album lors du 36e festival de la bande dessinée à Angoulême.

www.lesrequinsmarteaux.org


Privat, la maison doyenne

Privat, c'est depuis 170 ans, l'enseigne emblématique de l'édition toulousaine. Fondée en 1839 par Édouard Privat, la « Maison » a longtemps été celle des Lettrés et de l'Académie. C'était la « librairie d'enseignement », spécialisée dans les ouvrages pédagogiques et historiques, et aussi d'histoire locale, avec un chef-d'œuvre absolu, l'« Histoire du Languedoc » de Dom Devic et Dom Vaissette. Au fil du temps et des successeurs, mais sans rien abandonner des ouvrages scientifiques et de recherche, sans rien perdre du « sérieux » qui constitue le fil directeur et la marque de fabrique de Privat, cette activité de base s'est largement diversifiée. Les « beaux livres » foisonnent, sur Toulouse et sa région, sur ses merveilles architecturales et paysagères, sur ses fleurons (aviation, espace, universités…). Il y a quelques années, l'éditeur, désormais séparé de la librairie, ouvre, sous la houlette de Janine Garrisson, une collection de romans historiques. Elle compte aujourd'hui une trentaine de titres qui ont assis son succès. Dernier en date des prouesses éditoriales de Privat (parmi la cinquantaine de titres qui sortent chaque année des presses de Privat), ce recueil des articles de Jean Jaurès publiés en son temps dans La Dépêche. Une somme considérable, qui rassemble plus de 1 300 textes fondateurs de la pensée et de l'action de l'Apôtre de la paix.

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2 novembre 2009 1 02 /11 /novembre /2009 00:35
Sur les conseils d'un participant à mes ateliers, j'ai commencé à lire ce roman du King. L'histoire d'un écrivain qui perd sa femme, tombée morte d'un coup, en pleine rue.
J'ai lu un chapitre.
Je crois que je n'irai pas au-delà pour l'instant.
Parfois, il est des conseils qu'il vaut mieux ne pas suivre.
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